Casques audio : 30 références qui ont marqué l’histoire du son et de la Hi-Fi
A la fin des années 1910, Nathaniel Baldwin créé le premier casque audio de l’histoire, tel que nous le connaissons aujourd’hui. Plus de 100 ans après, les casques audio répondent toujours au même principe : des haut-parleurs contenus dans des coques, reliées entre elles par un arceau. En un siècle, de nombreux constructeurs talentueux se sont penchés sur le sujet, donnant naissance à des références devenues mythiques pour les amoureux de l’écoute au casque. Nous vous proposons ici de découvrir les 30 casques audio qui selon nous, ont le plus marqué l’histoire de la hi-fi et du son professionnel.
Platronics MS50
Impossible de ne pas mentionner le premier casque ayant marché sur la lune avec Neil Armstrong ! Pas vraiment hi-fi, ce casque était équipé de deux microphones dynamiques flexibles. Il est l’œuvre d’une collaboration entre Plantronics et la NASA qui débuta en 1962. Onze jours ont été nécessaires pour intégrer cette paire d’écouteurs à un casque d’astronaute ! Surnommé Bonnet Snoopy, il fut embarqué pour les missions Gemini, Apollo et Skylab. Son utilisation a d’ailleurs continué pendant 40 ans dans le domaine de l’aviation.
Audio-Technica ATH-W10VTG
Il s’agit du premier casque en bois développé par le fabricant japonais Audio-Technica. Lancé fin 1996, il adopte une architecture circum-auriculaire et de gros transducteurs de 53 mm. Ce casque électrodynamique impose un caractère marqué avec sa sonorité chaleureuse, offrant toutefois un bon niveau de détail. Il n’est pas vraiment neutre, mais incarne un bon compromis entre musicalité et capacité d’analyse. Modèle assez rare (3000 unités produites).
Audio-Technica ATH-L3000
Aussi appelé Leatherhead (tête de cuir), ce casque apparaît sur le marché en 2003. Distribué uniquement au Japon, sa production avoisine les 500 exemplaires (dont 50 en cuir vert qui sont quasi introuvables). Parmi les raffinements proposés, on peut par exemple souligner ses transducteurs de 53 mm intégrés dans des coques fermées. La réponse en fréquence est exceptionnellement étendue (5Hz – 45kHz). Lancé au prix de 2500$, on le considère aujourd’hui comme l’un des casques audio les plus musicaux du monde. Mais pour le côté chirurgical, on repassera…
Sennheiser Orpheus HE 90
Tous les audiophiles s’accordent à dire que le Sennheiser Orpheus HE90 est LE casque audio de légende. Nous sommes en 1991, et il faut débourser environ 15 000$ pour s’offrir cette merveille et son ampli à lampes HEV90 (classe A). Seulement 300 unités voient le jour ! Ses transducteurs électrostatiques sont intégrés dans de somptueuses coques en hêtre lamellé. Notez qu’on profitait déjà d’entrées numériques Optique et Coaxial ! Le nouveau modèle avec son ampli à tubes, l’Orpheus HE1, coûte quant à lui 59 900€. Il surpasse son aîné sur tous les points…
Sennheiser Baby Oprheus HE 60
Il s’agit du deuxième casque électrostatique de Sennheiser. Là encore il s’accompagnait d’un ampli : cette fois, un modèle HEV70 à transistors. Plus abordable que son grand-frère, ce combo offre une sonorité pourtant très proche. Il est possible de l’associer à d’autres amplis pour casques électrostatiques, afin d’en révéler le vrai potentiel. Son caractère sonore est à la fois transparent et équilibré, avec une énorme scène sonore et une large réponse en fréquence (12 Hz – 65 kHz). Vendu 700$ à sa sortie, il disposait d’une forme proche de la série HD500/HD600.
Sennheiser HD600/650
En 1997, Sennheiser lance l’HD 600 qui est remplacé par le HD 650 en 2003. Très bon sur n’importe quel genre de musique, ce casque ouvert est une merveille pour le mix et le mastering. Son impédance élevée implique encore une fois l’utilisation d’un ampli casque. Pour environ 350€, vous obtenez un son d’une superbe neutralité. Aujourd’hui, l’héritier des HD 650 et HD 600 n’est autre que l’exceptionnel HD 660S.
Sennheiser HD 280 Pro
Une référence qui a son fan club ! Voici sans doute le casque clos pas cher le plus prisé pour le monitoring. Il offre une isolation hyper efficace des bruits extérieurs. Revers de la médaille, il peut se révéler assez fatiguant car la pression qu’il exerce est importante. Mais pour 100€, on lui pardonne aisément ce petit défaut…
Sennheiser HD25
Ce casque incontournable fait son apparition en 1988. On peut l’apercevoir partout : dans les studios, sur scène, dans les régies, sur les plateaux TV… Compact et léger, il se caractérise par des oreillettes pivotantes et par une isolation passive hautement efficace. La British Airways l’avait d’ailleurs utilisé dans sa version BA pour les passagers des vols Concorde entre 1989 et 2004. Même les DJs Bob Sinclar et QBert s’affichaient fièrement avec leur HD25 ! De nombreuses versions sortent, la dernière en date étant la HD 25-1 II Basic Edition.
Sennheiser HD 800
Bien qu’assez récent, ce casque est une vraie légende. Vendu autour des 1000€ il y a encore peu de temps, il se caractérise par des HP de 56 mm orientés spécifiquement pour améliorer l’image sonore. Le casque audiophile Sennheiser HD 800 est certes imposant, mais il est aussi très confortable. Sur le plan sonore, ses points forts sont l’équilibre et la neutralité, ainsi qu’une spatialisation incroyable. Il est particulièrement prisé dans les installations Hi-Fi et les studios (mix et mastering). Un remplaçant légèrement remanié lui succède sous l’appellation HD 800 S.
AKG K240 Sextett
La naissance du K240 Sextett intervient durant la seconde moitié des années 70. Cette première version du célèbre K240 incorporait 6 radiateurs passifs autour du transducteur large bande. Sa sensibilité faible et son impédance de 600 Ohms impliquent l’utilisation d’un ampli casque. On peut aussi trouver ce casque sous la référence K242 Sextett dans certains pays comme la France. Les utilisateurs soulignent un superbe médium, et un grave très (trop) présent.
AKG K240 Studio
C’est sans doute le casque à tendance « analytique » le plus abordable et le plus populaire du marché. Les K240 Studio d’AKG sont semi-ouverts, et peuvent être utilisés pour le mix et le monitoring. On peut apercevoir les K240 en version Monitor dans Party All The Time avec Eddie Murphy (1985).
AKG K1000
Nous voilà avec un casque audio hyper atypique ! La création de l’AKG K1000 intervient en 1989. Véritable légende coûtant 1000$, il s’est vendu à plus de 10 000 unités dans le monde. A mi-chemin entre un Jecklin Float et un SR Sigma, il était lui aussi commercialisé en tant qu’Earspeakers (enceintes pour oreilles). Sa signature sonore haut perchée, sa belle ouverture et sa spatialisation crédible lui ont valu un excellent accueil. Livré dans une mallette en bois, il pouvait être associé à 3 électroniques. Un adaptateur d’impédance K1000 Selector, un ampli casque SAC K1000 et un rare ampli avec processeur de signal numérique BAP1000.
AKG K701
Le succès du K701 tient dans une formule simple : offrir un confort exceptionnel, associé à un son neutre et sans coloration, le tout pour un prix raisonnable. Utilisé par des grands noms comme Quincy Jones, il parvient à restituer haut la main tous les registres de fréquences. Un K702 avec câble détachable existe, ainsi qu’une version Q701 développée en partenariat avec Quincy himself. Sur cette dernière version, le grave est légèrement plus présent.
Stax SR-Sigma
Encore une paire d’enceintes pour les oreilles ! Il s’agit de la réponse de Stax à Jurg Jecklin : le modèle du constructeur japonais l’éclipsant largement en matière de sonorité. Lancé en 1977, il se décline en plusieurs versions distinctes. L’originale avec ses grilles grises, celle de 1987 avec une plus faible capacitance, le Sigma Professionnal avec transducteur de 1 micron, et enfin, le Sigma /404 avec les drivers du SR-404 de 1.35 micron.
Stax SR-Omega
L’objectif de ce casque était de faire oublier les mythiques Orpheus et MDR-R10. Une véritable œuvre d’art, produite pendant trois petites années de 1993 à 1995. Seulement 600 exemplaires ont été vendus, et il se murmure que ce casque est à l’origine de la faillite de Stax au milieu des années 90. La production d’un exemplaire coûtait 1600$ à la marque… Il est d’ailleurs considéré comme l’un des meilleurs casques jamais fabriqués. Ses superbes drivers de 90 mm dotés d’une membrane de 1,5 micron y sont pour quelque chose !
Shure SRH-1540
Lancé en 2013 pour 450€, beaucoup disent qu’il s’agit d’un des meilleurs casques fermés au monde. Possible… En tout cas, il propose l’un des meilleurs rapports prix/performances que l’on n’ai jamais vu sur un casque clos. Drivers de 40 mm avec aimant néodyme, structure en alliage d’alu et de fibre de carbone… La conception est soignée, tout comme la sonorité qui fait preuve d’un grave tendu et profond, avec un médium naturel et un aigu cristallin. Le niveau de détail est excellent ! Il est d’ailleurs aussi bon en Hi-Fi qu’en monitoring.
Sony MDR-V6
Chez Sony, le préfixe MDR signifie Micro Dynamic Receiver. Le MDR-V6 est un casque pliable, qui a obtenu un grand succès auprès des professionnels du son. Il a été lancé en 1985 et est devenu une référence de sa catégorie. Vous l’avez déjà forcément vu dans une régie ou sur un plateau radio ! Ce casque circum-auriculaire est une valeur sûre pour le mix, le monitoring et les applications broadcast. Ses coques fermées abritent des haut-parleurs de 40 mm pourvus d’un aimant samarium-cobalt.
Sony MDR-R10
Considéré comme le roi des casques, le Sony MDR-R10 est vendu à partir de 1989 pour environ 2500 dollars. Le constructeur japonais opte ici pour des transducteurs de 50 mm à membranes en bio-cellule dont la fibre était cultivée à partir d’une bactérie. Ils sont contenus dans des coques en bois Zelkova, une essence précieuse vieille de 200 ans ! L’arceau et la structure mêlent quant à eux la fibre de carbone et le magnésium pour garantir légèreté et robustesse… Il est souvent considéré comme l’un des casques disposant de la plus belle sonorité qu’on puisse obtenir avec un casque. Il a d’ailleurs conservé une très grosse côte sur le marché de l’occasion, avec des prix de vente proches des 5000€.
Sony MDR-7506
Voici encore une référence incontournable du monde de l’audio professionnel. Ce casque est fabriqué depuis 1991, et vous pouvez vous procurer un exemplaire pour environ 100€. Il s’agit d’une version remise au gout du jour de l’excellent MDR-V6. L’aigu est un peu plus en avant sur cette nouvelle mouture, ce qui rend le casque plus vif que son prédécesseur. La première version a été conçue avec un aimant samarium-cobalt, qui fut remplacé par la suite par un aimant néodyme plus puissant.
Beyerdynamic DT 770 Pro
Il s’agit de la version à coques fermées du DT 990 Pro. Les haut-parleurs sont les mêmes, mais la conception implique une sonorité très différente. Ce DT 770 Pro laisse apparaitre un grave beaucoup plus énergique, et une spatialisation un peu en retrait. Ils sont parfaits pour le monitoring, et existent en différentes versions avec des impédances allant de 16 à 250 Ohms.
Beyerdynamic DT48
Beyerdynamic signe ici le premier casque à transducteurs électrodynamiques au monde ! Dévoilé en 1937, il sera fabriqué jusqu’en 2012, avec seulement quelques petites modifications. On peut par exemple souligner la version DT 48 S sortie en 1964, la 48 E avec une impédance de 25 Ohms ou 200 Ohms, et même la DT 48 A.00 pour l’audiométrie.
Koss SP/3
Selon Koss, il s’agirait du premier casque stéréo de l’histoire. Il est sorti en 1958, pour accompagner le lancement d’un nouveau tourne-disque. Une des fonctions de ce tourne-disque était de permettre l’écoute au casque en activant un simple switch. Mais c’est le son du SP/3 qui lui vola la vedette ! A l’époque, sa qualité sonore était inégalée. Un SP/3X suivra en 1960.
Koss Pro/4 et Pro/4AA
Le Pro/4 a été conçu en 1962, et popularisé par des célébrités comme Tony Bennett, Bobby Hackett ou Les Brown. En 1969, les passagers du mythique Air Force One pouvaient apprécier leur vol en compagnie d’un des 50 casques Pro/4 installés. Cela inclue les quartiers présidentiels de l’avion ! Son successeur, le Pro4/AA sortira en 1970. Puis vient le Pro4/AAA en 1976, et d’autres par la suite.
Koss ESP/6
On retrouve Koss en 1968 avec un concept intéressant, celui du casque électrostatique autoalimenté. « Il adopte un transducteur push-pull travaillant à charge constante pour un minimum de distorsion. Il apporte une solution ingénieuse au problème de polarisation, à tension continue relativement élevée, indispensable aux transducteurs électrostatiques » (Revue du Son, 1969). Martin Lange Jr, inventeur de cette technologie, en a d’ailleurs déposé le brevet.
Koss Porta Pro
Ha ce brave Porta Pro ! Il a été introduit sur le marché en 1984, pour accompagner le baladeur cassette A-3 Music Box. Son format était donc ultra compact, afin de vous suivre partout. Il peut d’ailleurs être replié et tenir dans la paume de la main. Même s’il ne coûte que 50€, il mérite bien le titre de casques audio mythique !
Koss ESP950
Le casque audio Koss ESP950 lancé en 1990 exploite la technologie électrostatique. L’une des forces de ce casque réside dans ses transducteurs disposant d’un amortissement mécanique idéal. Il délivre une sonorité dénuée de toute distorsion, grâce à sa membrane ultra fine de seulement 1,5 micron. Le prix de ce casque était également bien plus abordable que la plupart des concurrents électrostatiques de l’époque, et a récemment terminé sa vie aux alentours de 999$.
Pioneer Monitor 10
Nous sommes ici en présence d’un casque électrodynamique abordable dont la production a commencé en 1976. Il est clairement orienté vers un usage professionnel et dispose d’une sensibilité élevée de 100 dB/mW. Cela, associé à une impédance de 16 Ohms, le rend compatible avec n’importe quelle source. On notera une courbe de réponse en fréquence étonnement plate de 20 Hz à 20 kHz, grâce à l’utilisation de drivers Pioneer de 57 mm (cônes polyester à bords libres).
Grado HP1000
Grado est une entreprise familiale chargée d’histoire. Son fondateur, Joseph Grado, est à l’origine de la première cellule MC au monde. Cette passion pour le beau son se poursuit également dans les casques audio, puisque Grado a signé certains des meilleurs modèles de la discipline. En 1989, la firme nous gratifie par exemple de sa série Joseph Grado Signature HP1000, composée des HP1, HP2 et HP3 (seulement 1000 unités au total). De purs concentrés de fun, qui vous feront taper du pied comme aucun autre ne sait le faire.
Grado SR325
Ce casque est commercialisé depuis 1993. Il est considéré comme l’un des meilleurs casques ouverts de sa catégorie. Avec sa dynamique exceptionnelle et sa sonorité enthousiaste, il offre beaucoup de plaisir à son utilisateur. Des versions i et e apportant quelques modifications apparaissent au fil des années. Un Gold SR325i a aussi été produit en 2003 pour célébrer le 50ème anniversaire de Grado. Une version aurait également été fabriquée avec les mêmes haut-parleurs que ceux des HP1000.
Focal Utopia
Le fabricant français Focal a secoué le marché du casque audiophile lorsqu’il a lancé en 2016 ses désormais célèbres Elear et Utopia. Ce dernier peut compter sur un haut-parleur large bande à dôme M en Béryllium, totalement ouvert sur l’arrière. Une première, qui permet d’obtenir un son d’une pureté saisissante. La conception du casque est toute aussi sensationnelle, mêlant avec brio les plus beaux matériaux. Un vrai bijou, considéré comme l’un des meilleurs casques électrodynamiques au monde.
Jecklin Float
Cet incroyable casque audio est né au début des années 70, en Suisse. Il est l’œuvre de Jurg Jecklin, technicien en radio, qui souhaitait obtenir un rendu proche de celui obtenu avec des enceintes. Les transducteurs sont ainsi disposés dans des panneaux légèrement inclinés, éloignés du crâne par une mousse. Trois modèles de casques Jecklin ont été lancés en 1975 : le Float 1 et le Float 2 en dynamique, mais aussi l’Electrostat en électrostatique. Son prix de lancement était de 300$, soit environ 1400€ aujourd’hui.
Yamaha HP-1000
C’est l’un des casques orthodynamiques les plus recherchés de la planète ! De type semi-ouvert, il peut compter sur d’excellents transducteurs magnétiques planaires de 50 mm. Ces hp sont associés à un aimant ferrite anisotrope et bénéficient d’un amortissement interne efficace. L’HP-1000 incarnait le sommet de la gamme de casques audio Yamaha en 1977. Une version identique baptisée YH-1000 a été commercialisée en dehors des USA. Très rare et très prisé, il dispose d’une excellente réputation, quoi qu’un peu disproportionnée par rapport à ses prestations acoustiques.
Yamaha YH-2
Voici un autre casque magnétique planaire (ou orthodynamique), cette fois beaucoup plus abordable et diablement compact. Son arceau a même été dessiné par Mario Bellini ! Ce casque supra-auriculaire lancé en 1978 dispose de drivers de 46 mm dont l’impédance est de 150 Ohms. Ultra confortable, il propose un très beau médium caractéristique de la technologie planar magnetic. Il permet ainsi d’obtenir un rendu naturel des voix et des instruments, pour seulement 50$ d’occasion !
HE Audio Jade
Mr He est le fondateur de la marque HE Audio, qu’il commence à utiliser dès 2005. En 2007, sortira le EH 1.1, suivi des EH 1.2, EH1.3 et EH 1.2B en 2008. L’année d’après, la firme revient avec le fameux HE Audio Jade, qui est censé régler tous les problèmes rencontrés par ses prédécesseurs. Vendu 1500$ à sa sortie et commercialisé pendant très peu de temps, il n’aurait été produit qu’à 25 exemplaires. Certains le considèrent comme le meilleur casque électrostatique au monde, avec l’Orpheus de Sennheiser et le Stax SR Omega. Un mythe !
Bang & Olufsen U70
Bang & Olufsen nous gratifient en 1978 d’un casque magnétique planaire au look inimitable et inimité. C’est le premier essai de la marque dans ce domaine ! Fabriqué jusqu’en 1984, il est l’œuvre de Jacob Jensen et fait partie de la collection « Design » permanente du MOMA. Attention aux modèles d’occasion, qui ne sont quasiment jamais fournis avec leurs oreillettes originales… Il faudra donc vous passer de leur micro conduit, ce qui modifiera la signature sonore !
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